Donc, «on» lynche des policiers, «on» chante la quenelle de Dieudonné à Montmartre, «on» reprend les codes des années 30 pour renverser la République, «on» décapite l’effigie du président...
— Benjamin Griveaux (@BGriveaux) December 22, 2018
Derrière ces «on », un seul visage, lâche, raciste, antisémite, putschiste.
Stop.
Le drapeau européen dérangeait moins @JLMelenchon qd il figurait sur sa fiche de paie de député européen @enmarchefr https://t.co/EPXliE5CJC
— Benjamin Griveaux (@BGriveaux) October 4, 2017
Merci aux agents du ministère qui ont été d’un très grand calme et aux forces de l’ordre qui sont intervenues avec courage.
— Benjamin Griveaux (@BGriveaux) January 5, 2019
S’attaquer à un ministère, c’est s’attaquer à notre bien commun, la République.
Les auteurs de ces actes inqualifiables sont des ennemis de la démocratie.
La haine à l’état brut dans les rues de Paris contre Alain #Finkielkraut hué aux cris de « sale Juif ».
— Benjamin Griveaux (@BGriveaux) February 16, 2019
La bête immonde tapie dans l’anonymat d’une foule.
Ceux qui insultent ont le visage découvert. J’espère qu’ils seront identifiés, poursuivis et lourdement condamnés. #Acte14 https://t.co/JzmePiO8HM