S’habituer à ce genre de dérapage, rester impassible face à des propos aussi répugnants, c’est faire gagner la haine et reculer la République.
— Christophe Castaner (@CCastaner) February 16, 2020
Je signale ces publications au procureur de la République pour provocation à la haine, en vertu de l’article 40 de procédure pénale. https://t.co/IaweM8tul3
S'il n'y avait pas de magasins pillés, de barricades érigées.
— Christophe Castaner (@CCastaner) February 1, 2019
S'il n'y avait pas de voitures brûlées, de bâtiments publics saccagés.
S'il n'y avait pas de forces de l'ordre lynchées.
En somme si la loi était respectée, il n'y aurait pas de blessés. pic.twitter.com/C3wQQq2fVv
Non madame, « les hommes et les femmes qui vont travailler tous les matins en banlieue » ne se font pas « massacrer pour nulle autre raison que leur couleur de peau ».
— Christophe Castaner (@CCastaner) May 24, 2020
Ces propos mensongers et honteux alimentent la haine & la violence. Ils appellent une condamnation sans réserve. https://t.co/xYv1owFyVf
Les scènes auxquelles nous avons assisté ce matin sont intolérables.
— Christophe Castaner (@CCastaner) December 1, 2018
La volonté affichée et assumée de s’attaquer à nos forces de l’ordre, aux symboles de notre pays, sont une insulte à la République.
Soutien et confiance aux effectifs mobilisés. pic.twitter.com/CCx4pqJM7K